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Postures du Kamasutra

Manuel d’art érotique indien, écrit par le sage indien Vatsyayana. Ce manuel d’art érotique présente différentes techniques sexuelles en mettant l’accent sur l’amour (Kâma). Les figures décrites sont des positions du yoga qui visent à l’harmonie du corps et de l’esprit, la tradition hindoue considérant le corps comme l’expression de la spiritualité. Pour le Kamasutra, il existe neuf façons pour le pénis de se mouvoir dans le vagin, huit étapes de sexe oral, quatre types d’embrasements et quelques autres classifications. Exemple de positions décrites dans le Kamasutra : Andromaque, l’union du Lotus, le vol des mouettes ou le cavalier à la barre.                                                                  

 

Source: psychologies.com

Photos: Jonathan Beaupied

L’union de la femme timide
Cette posture tient son nom du jeu qui peut se mettre en place entre les deux partenaires. Ici, l’amante serre les cuisses, comme si elle était intimidée. L’homme place ses mains entre les cuisses de son aimée pour la caresser et l’inciter à lui ouvrir son trésor, à lui permettre de le découvrir.



Comment ?

L’amant est assis sur une chaise, son amante debout face à lui. Il se tient jambes écartées, ce qui permet à la femme de s’y glisser. Cette situation est de toute évidence très propice à une montée rapide du plaisir avant même que le lingam (pénis) ne s’introduise dans le yoni (vagin). En effet, la posture est idéale pour laisser une large place aux caresses sur la vulve et le clitoris, pour permettre des embrassements sur les seins, zone très érogène et impliquée dans la montée de l’excitation. L’union de la femme timide permet aussi aux partenaires de se parler, de chuchoter des mots d’amour. Ces chuchotements, tout comme les regards, font aussi monter le niveau de volupté. L’union de la femme timide est donc très complète : elle n’est fatigante ni pour l’un ni pour l’autre, ce qui autorise à placer toute son attention dans le plaisir ; elle permet des caresses de l’amant vers l’amante… mais aussi de l’amante vers l’amant. Quand elle est devenue moins timide, l’aimée peut prodiguer des baisers sur le visage de son homme, mais aussi sur ses mamelons et sur son sexe.



Les mouvements

Les balancements de va-et-vient sont ici plutôt limités dans leur envergure et leur liberté. C’est surtout dans les préliminaires que cette posture est merveilleuse. Néanmoins, d’avant en arrière, sans chercher à tourner ou à se positionner en oblique, le plaisir peut être au rendez-vous.



Le petit plus

Pour que la position de la femme timide développe toute sa volupté, elle nécessite une certaine précision. En effet, les amants doivent se trouver placés exactement à la bonne hauteur l’un par rapport à l’autre pour permettre la connexion. Il faut donc parfois que la femme porte des talons ou se surélève. Quant à l’homme, il peut choisir sa chaise pour qu’elle soit à la hauteur idéale, s’asseoir ou non sur des coussins.

L’union ouverte
En permettant à la femme de jouir d’un plaisir profond et à l’homme d’observer cette extase, la posture de l’union ouverte offre aux amants une étreinte charnelle et complice…



Comment ?

La femme est allongée sur le dos, jambes ouvertes. Son partenaire, à genoux devant elle, tient ses deux jambes de manière à les écarter encore un peu plus. L’union ouverte s’adresse aux amants qui rêvent de se sentir emboîtés le plus profondément possible. Elle est idéale pour les femmes dont le yoni – sexe - est profond, dites « femmes éléphant » dans le Kamasutra. Cette posture est aussi recommandée aux femmes qui ressentent le plus de plaisir lorsque les zones profondes de leur intimité sont stimulées.



Les mouvements

L’intérêt de cette posture : l’amant peut se promener dans le yoni de sa partenaire avec beaucoup de facilité. Il peut jouer à stimuler l’entrée, puis le côté droit ou gauche, l’arrière, il peut rester en surface ou aller tout au fond. L’union ouverte est donc, pour l’homme, une invitation à vagabonder et à explorer cette grotte des merveilles. Le délice, pour l’amant qui l’apprécie, est aussi d’avoir une vue large et persistante sur la rencontre. Il peut ainsi observer les changements du yoni de son amante pendant le plaisir. Il peut le voir gonfler, transpirer et même se contracter autour de lui lors de l’acmé du plaisir. Pour certains hommes, ce plaisir est encore augmenté par la vue des va-et-vient de son propre lingam – pénis -. Il ne s’agit plus seulement d’observer l’autre, mais de s’auto-observer, ce qui peut être magique. A noter : l’amant doit avoir une certaine force dans les bras car si la connexion dure assez longtemps, sa partenaire ne peut tenir ses jambes par sa propre force, concentrée qu’elle est sur son propre plaisir. Seul bémol, certes minime à l’union ouverte : la posture est favorable aux bruits désagréables de l’air qui entre et qui sort, produisant des sons souvent peu romantiques !



Le petit plus

Si certaines femmes atteignent l’orgasme par des stimulations du fond du vagin, au niveau du col de l’utérus, d’autres le ressentent lors des stimulations sur les côtés. Il est ainsi recommandé à l’amant d’explorer ces possibilités et de ne pas seulement chercher à entrer le plus profondément possible. L’idéal : varier les coups amoureux en allant visiter les côtés du yoni, là où se trouvent aussi, pour certaines, des zones réflexes du plaisir.

La position du cadeau
Le cadeau : un nom poétique pour une position à la fois romantique et technique… Ce terme témoigne à la fois de l’idée que les deux amants sont liés tels l’emballage et le paquet-cadeau, mais aussi peut-être, que les partenaires se font, l’un à l’autre, le présent de leur corps.



Comment ?

La femme, allongée sur le dos, relève et croise les jambes autour du bassin de son partenaire. L’homme, en appui sur les coudes, offre son lingam – pénis – à sa partenaire. L’intérêt relationnel est évident : leur attention est concentrée sur eux seuls et leurs regards ne sont pas attirés par l’extérieur. Ils forment un cercle ouvert qui les relie l’un à l’autre. Les amants peuvent ainsi se parler, chuchoter et même s’embrasser tendrement.



Les mouvements

La femme a la liberté de faire onduler son bassin en mouvements circulaires ou de haut en bas. Elle fait ainsi osciller son yoni – vagin - autour du lingam de son partenaire. Ses bras sont libres et elle peut choisir de caresser le visage de son homme, ses mamelons ou ses fesses… mais difficilement sa zone sexuelle, peu accessible dans cette posture. L’homme, quant à lui, a ses deux bras occupés pour soutenir le poids de son corps et ne peut donc pas prodiguer de caresses à sa partenaire. Cette posture n’est pas propice au plaisir lent et profond car la pénétration est difficilement complète ou au prix de tensions musculaires très importantes. L’union du « cadeau » permet plutôt de déguster le plaisir de petits coups amoureux, mouvements de va-et-vient qui sont à l’origine de sensations très différentes de celles des coups profonds.



Le petit plus

L’homme peut profiter de l’agrément cette posture pour prodiguer des baisers à son aimée. La femme, quant à elle, peut bouger de gauche à droite, mouvement souvent oublié dans la pratique amoureuse. Pourtant, ce balancement latéral est très intéressant car les zones du côté du vagin ont un potentiel érogène très important. Autre avantage : si vous pratiquez des mouvements rapides et peu profonds, entraînez-vous à respirer au même rythme. Les mouvements respiratoires associés aux va-et-vient rapides font ainsi monter l’excitation. Cela peut être une bonne méthode pour les hommes qui estiment éjaculer lentement ou avoir du mal à y parvenir.

Le pivot
Complexe, difficile à tenir : la posture du pivot demande une certaine dextérité de la part des amants. Ces acrobaties sont pourtant toujours récompensées : en allant au-delà de leurs limites, les partenaires sortent de la routine pour connaître un nouvel extase.



Comment ?

Dans la posture du pivot, l’amant est allongé sur le dos, jambes serrées. Sa partenaire est elle aussi étendue sur le dos sur le dos, sur lui, de tout son long. Elle replie ses jambes et pose ses pieds sur les genoux de son aimé. Cette posture peut se pratiquer avec les deux amants dans le même axe, donc exactement l’un sur l’autre, mais aussi légèrement décalés. L’inconvénient majeur de cette position : elle est très peu confortable et ne peut être conservée longtemps car l’homme se sent écrasé. Plusieurs précautions sont donc à prendre. L’amante doit poser ses coudes sur le côté de manière à alléger son poids et reposer plus légèrement sur le corps de son amant. Elle doit aussi relever légèrement la tête pour ne pas étouffer son amant avec ses cheveux. Le mouvement de va-et-vient est lui aussi délicat. Si l’homme est actif, il doit soulever son bassin, en comptant avec le poids de sa partenaire. Si c’est la femme qui pratique les mouvements, elle doit elle aussi soulever son bassin, ce qui est souvent difficile pour une femme, naturellement moins musclée qu’un homme. Alors, quel est l’intérêt de cette posture difficile à tenir ?



Les mouvements

Le mouvement, au lieu de reproduire le va-et-vient habituel, peut se transformer en mouvement circulaire, d’où son nom de pivot. L’axe du pivot est alors le lingam - sexe masculin -, autour duquel l’amante peut tourner, telle une roue horizontale tourne autour d’un axe vertical. La femme peut tourner entièrement, aidée par les mains de son amant, ou pratiquer des mouvements d’oscillation de côté, comme une pendule. Les sensations de volupté sont très nouvelles, différentes de celles éprouvées généralement. Vous en doutez ? Essayez et vous verrez !

Le petit plus

On trouve ici l’intérêt… d’une posture complexe. Quand tout est possible, on a tendance à reproduire ce qui se fait habituellement. Quand les limites sont importantes, les amants sont obligés d’être plus imaginatifs et peuvent découvrir des stimulations inédites et très sensuelles. C’est ce qu’il faut garder à l’esprit quand il vous arrive d’être limité pour des raisons indépendantes de votre volonté (blessure, mal de dos, grossesse…), quand vous êtes freiné dans vos étreintes. Mais cette limite même peut vous amener à découvrir, à explorer autrement. C’est que ce confient volontiers des couples qui viennent d’avoir un enfant : « nous ne pouvions plus faire l’amour dans les positions qui nous étaient habituelles, et nous avons donc dû en trouver d’autres. Nous en avons adopté certaines, et elles font maintenant partie de notre répertoire. »

L’union de la vache
L’imitation d’une union animale n’est pas interprétée de la même manière dans le Kamasutra que dans notre civilisation occidentale. Dans l’Inde du Kama Sutra, la vache et le taureau sont des animaux sacrés, ce qui montre l’élévation spirituelle représentée par l’acte sexuel. L’union de la vache n’est donc pas une comparaison avilissante, mais au contraire, une image qui insiste sur le côté sacré de l’acte amoureux.



Comment ?

L’amante se tient à quatre pattes, sur ses coudes et sur ses genoux. Son amant la monte à la façon d’un taureau. Contrairement à la plupart des postures, les caresses de l’amant se font, dans l’union de la vache, sur l’arrière du corps de sa partenaire. Caresser le dos, les fesses, la nuque de son amante peut ainsi se révéler un vrai bonheur tactile. L’homme a aussi le loisir de s’occuper des seins de son aimée qui, dans cette posture ont une grande liberté de mouvement. Lors des mille coups amoureux (va-et-vient), ils ont tendance à osciller, se balancer. L’homme peut alors facilement percevoir et profiter de ces mouvements s’il empaume ces deux seins de ses mains caressantes. Les stimulations des mamelons sont également propices à la montée de l’excitation féminine. Cela peut donc lui permettre à l’amante d’atteindre un niveau élevé de plaisir. Autre volupté de cette posture : le plaisir des yeux. Pour lui, voir s’agiter les fesses de son aimée, voir se courber sa nuque, se creuser ses reins peut entraîner une forte excitation.



Les mouvements

Cette posture est mécaniquement très adaptée à une pénétration profonde. Elle permet à un homme qui estime que son lingam – pénis - est court d’entrer jusqu’aux extrémités du yoni – vagin -, même si celui-ci est profond. Les deux partenaires peuvent agir chacun de leur côté pour trouver la bonne inclinaison de l’union, celle qui leur donne les sensations les plus puissantes : l’homme en se redressant plus ou moins et l’amante en creusant plus ou moins la courbe de ses reins. Cette posture, lorsqu’elle est acceptée psychologiquement comme étant une étreinte de qualité peut prodiguer beaucoup de plaisir aux deux partenaires. En revanche, si elle est méprisée parce que l’on se sent avilie, réduite au rang d’animal, elle peut être considérée comme désagréable. Il est intéressant de chercher à accepter cette part d’animalité en nous, source de plaisirs instinctifs, d’élan puissant, d’autant plus qu’elle n’empêche nullement l’élévation spirituelle de la rencontre. C’est peut-être même en mariant ces deux aspects de l’étreinte que le plaisir sera le plus intense…



Le petit plus

Cette posture est très adaptée à la conception, puisque le fond du vagin est plus bas que son entrée. Les spermatozoïdes ont donc à descendre pour entrer dans l’utérus, alors que dans de nombreuses postures, ils doivent remonter quelques centimètres, ce qui est peu pour nous, mais une distance énorme, pour eux.

La posture de la pince

Le Kamasutra a dédié la posture de la pince aux femmes de caractère, aimant procurer du plaisir à leur partenaire. Ici, l’aimée peut varier les sensations à son rythme et à son goût, se délecter de l’extase de son amant.



Comment ?

L’amant est assis jambes allongées, les mains sur le sol de chaque côté de son corps. En appui sur ses deux bras tendus, la femme se place sur les cuisses de son partenaire face à lui. Ses jambes sont repliées et écartées au niveau des hanches de son amant. Dans la position de la pince, l’homme jouit d’une très belle vue sur le corps de son aimée dont il voit le visage, les seins, le ventre, le sexe et l’intérieur des cuisses. Par contre, il ne peut guère bouger. C’est donc une posture où il peut accepter d’être totalement passif, de se laisser aller au plaisir pendant que l’amante s’occupe de le lui prodiguer. Seul bémol à cette belle étreinte du Kamasutra: les deux amants ne peuvent s’adonner à des caresses, leurs deux bras étant utilisés pour les soutenir. La posture de la pince ne doit donc guère être pratiquée directement, mais plutôt après des caresses et des embrassements qui ont déjà fait brûler le feu des amants. L’intensité du plaisir passe ici par les regards.



Les mouvements

La femme fait pénétrer le lingam - pénis - dans son yoni - vagin - en effectuant des mouvements d’aspiration et de serrement. Elle le garde longtemps en elle. Cette pince humaine, réalisée par le yoni, se prolonge au niveau des cuisses et ne reste naturellement pas immobile. Elle peut osciller de haut en bas, de gauche à droite, d’avant en arrière, mais aussi tourner autour du lingam. L’amante jouit des sensations et des expressions du visage de son partenaire qu’elle chevauche à sa manière.



Le petit plus

Au-delà du choix des mouvements, la femme peut décider de l’intensité du serrement de son yoni. La clé de ce choix : pratiquer un entraînement musculaire des muscles du périnée. Mais ici, même si ces muscles ne sont pas très puissants, elle peut compenser en serrant ses cuisses, voire en commençant un mouvement de croisement… Elle imprime ainsi une douce pression, une caresse intérieure à son amant qui l’apprécie intensément.

La posture du lotus
La posture du lotus est une position d’harmonie et de paix, de rencontre cosmique. Une vraie posture d’amour, parfaite pour les couples en quête de proximité et de chaleur humaine !



Comment ?

Les amants sont face à face. L’homme est assis en position de lotus ou en tailleur si le lotus est trop acrobatique pour lui. La femme, assise sur ses genoux, l’enserre entre ses jambes repliées. Face à face, dans une position de paix, les regards sont d’une immense intensité. Le lotus est une position de grande complicité. Comme la femme est généralement plus petite que l’homme, cette posture la hisse à une hauteur plus élevée, ce qui permet aux partenaires de se sentir vraiment proches. Les deux amants peuvent aussi se serrer l’un contre l’autre, torse contre torse. Autre avantage de cette posture : les seins de l’amante sont généralement tout proches de la bouche de l’amant. Résultat : il peut pratiquer toutes sortes d’embrassements, baisers mouillés, pincements ou morsures légères, caresses avec la langue… Cette stimulation des seins permet à l’amante d’atteindre une haute intensité d’excitation.



Les mouvements

Contrairement à son aimé, la femme possède, dans cette posture, une plus grande liberté de mouvement. Elle peut cambrer ses reins en inclinant sa tête vers l’arrière, ou au contraire, courber son dos. L’amante initie le va-et-vient amoureux et peut aussi choisir de se mouvoir de gauche à droite, voire de manière circulaire.



Le petit plus

Dans la position du lotus, l’homme peut se pencher d’avant en arrière et balancer sa partenaire au même rythme. Ce mouvement produit un effet sensoriel et émotionnel très maternant, le bercement affectueux rappelant notre toute petite enfance. C’est ainsi une posture propice à l’amour tendre plus qu’à la pulsion érotique de l’élan sexuel à l’état brut. En ce sens, cette posture contribue à cultiver les sentiments amoureux, la fusion des deux partenaires.

L’union de l’oiseau

Dans le Kamasutra, l’homme imaginatif multiplie la géométrie des rencontres amoureuses en imitant tous les animaux et suivant l’usage de chaque pays et les goûts de chaque personne. Ces variations, inspirent aux femmes l’amour, la tendresse et le respect.



Comment ?

L’homme peut adorer regarder son amante d’un point de vue dont il bénéficie rarement. Il voit son dos, zone très érotique pour certains hommes (Salvador Dali avait été, en tout premier lieu, séduit par le dos de sa femme), mais aussi ses fesses en mouvement. Cela peut se révéler visuellement très excitant et c’est d’ailleurs un des aspects importants de cette posture. A ce plaisir des yeux s’ajoute celui du toucher puisqu’il peut caresser ses cuisses, et même positionner ses mains entre ses fesses… L’homme peut trouver un grand plaisir à se laisser faire, car c’est l’avantage (ou l’inconvénient pour les hommes hyper actifs), de cette posture. Se laisser caresser et se voir en train d’être caressé est un plaisir qui peut monter très haut.



Les mouvements

Ici, la femme peut sautiller comme un oiseau pour que les mille coups amoureux soient légers et rapides… Pour la femme, le plaisir est multiple. Celui de choisir le rythme, l’inclinaison et la profondeur des mouvements de va-et-vient lui permet de prendre son plaisir comme elle le préfère. Elle peut aussi apprécier de se sentir en position de dominatrice ou tout simplement de celle qui dispense le plaisir. Le côté moins agréable de cette posture pour certains, c’est que les amants sont chacun dans leur monde, ne pouvant partager des regards. C’est pourquoi l’union de l’oiseau est rarement adoptée comme position principale, mais plutôt comme une agréable variante.



Le petit plus

L’amante qui se trouve complexée ou gênée par un ventre un peu rond, peut aimer pratiquer l’union de l’oiseau. Et cette posture est ainsi idéale pour les femmes enceintes. Pour les femmes qui ressentent parfois des douleurs lors pénétrations en levrette, à 4 pattes, l’union de l’oiseau permet de profiter des sensations d’une pénétration par derrière de manière très contrôlée, avec le plaisir sans la douleur.

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